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D’après l’Organisation des Nations Unies, l’Asie-Pacifique est la région du monde la plus exposée aux catastrophes. Près de 45% des catastrophes naturelles de la planète se produisent dans cette région.

À l’approche du premier anniversaire de la COVID-19, le moment est venu de prendre la mesure des effets de la pandémie et de réfléchir aux leçons que nous en avons tirées ainsi qu’aux moyens de mieux faire à l’avenir. 

En 2009, je me suis rendue par la route à Tombouctou, au Mali, pour une courte visite de terrain. Alors que nous roulions sur les routes poussiéreuses, je me souviens m'être demandée ce qui pourrait bien conduire cette terre aride et peu peuplée à une relative prospérité.

Les populations rurales pauvres sont parmi les plus durement touchées par les changements climatiques, tout en y contribuant très peu. Il faut leur consacrer une part équitable des financements de l’action climat et leur donner leur place dans les négociations mondiales sur les questions climatiques.

Plongeons-nous dans ce monde fascinant des vers de terre, acariens, champignons et microbes.

À la suite de l’adoption de la résolution 72/279 de l’Assemblée générale en mai 2018, plusieurs organismes des Nations Unies ont examiné les moyens d’améliorer le système des Nations Unies pour le développement en vue d’aider les pays à réaliser les ambitions du Programme 2030. 

Depuis que Clayton Christensen a inventé le terme d’"innovation disruptive" il y a 25 ans, il a fait couler beaucoup d’encre sur les avantages qu'il y a à bouleverser les pratiques entrepreneuriales établies.

Face à l’urbanisation du monde, nombreux sont ceux qui pensent que les villes sont la clé d’un avenir où les ressources sont utilisées de façon efficiente et durable.