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Il y a dix ans, dans le district de Capiíbary au Paraguay, un groupe de femmes s'est réuni pour former une association de vendeuses de marché. Aujourd'hui, avec le soutien d'un projet financé par le FIDA, elles sont prospères - et leur association fait désormais partie intégrante des systèmes alimentaires locaux.

Marianne Ndong et ses collègues vivent de l'élevage et de la vente d'huîtres dans le village de Dassilamé Sérère, dans le delta du Saloum, région de Fatick au Sénégal. Les mangroves ne servent pas seulement à faire prospérer les huîtres que cultive Marianne, mais elles constituent également une barrière protectrice entre la terre et la mer.

L’épisode de ce mois-ci est consacré à l’imminente Convention des Nations Unies sur la diversité biologique, qui se tiendra à Kunming, en Chine, en octobre.

Pour transformer nos systèmes alimentaires et leur permettre de résoudre la faim dans le monde en s’assurant qu’ils soient durables dans un monde en mutation, nous devons d'abord repenser leur mode de financement, a déclaré le Président du FIDA aux dirigeants mondiaux participant au Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires, qui se termine aujourd'hui.

Obidova est occupée ces jours-ci. Qu’elle installe un nouvel abri pour ses oiseaux ou qu’elle parte vendre sur les marchés, ses journées sont partagées entre ses responsabilités familiales et son entreprise de vollaille. Pourtant, il y a un an à peine, sa vie était très différente.

La pandémie de COVID-19 a montré plus clairement que jamais que la santé humaine ne consiste pas seulement à fournir des soins médicaux à la population. Pour éviter de futures pandémies, nous devons reconnaître que le bien-être des personnes, des animaux, des plantes et des écosystèmes doit être envisagé comme un tout dynamique.

La nourriture que nous consommons joue un rôle non seulement dans notre santé, mais aussi dans celle de nos descendants. La façon dont nous cultivons, chassons, pêchons ou cueillons notre nourriture, dont nous la transformons et l’acheminons jusqu’aux marchés, a des répercussions sur le monde qui nous entoure. Ces articulations simples sont le fondement des liens étroits entre climat et alimentation.

Il est scandaleux que les petits exploitants des pays en développement, qui produisent un tiers des aliments consommés dans le monde, soient payés une misère pour leur travail, a déclaré le Président du FIDA, qui demande aujourd’hui aux dirigeants mondiaux participant au Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires de prendre des mesures concrètes afin de changer cette situation.

Découvrez les spécificités des systèmes alimentaires de la région Pacifique, pourquoi ils sont particulièrement fragiles et le rôle des communautés insulaires dans leur protection.

Farmers and agribusinesses across the Asia-Pacific region are increasingly making use of new digital technologies. IFAD and Grow Asia have recently released a report exploring how these technologies are reshaping the region’s agriculture and how IFAD’s investments can accelerate the adoption of these technologies.

Nos systèmes alimentaires font fausse route. Dans quelque domaine que ce soit – le climat, l’environnement, l’alimentation, la santé humaine ou le bien‑être – ils ne produisent pas les résultats auxquels nous aspirons tous. Le Rapport 2021 du FIDA sur le développement rural décrit les problèmes d’ordre systémique qui ont conduit à la situation dans laquelle nous nous trouvons, fixe les priorités à suivre pour transformer nos systèmes alimentaires et indique un certain nombre de mesures qu’il préconise pour parvenir à un changement significatif.

Transformer les systèmes alimentaires mondiaux pour les rendre plus inclusifs, plus équitables et plus durables: pour insurmontable que ce défi puisse paraître, il est des mesures concrètes que les responsables politiques peuvent prendre, selon un nouveau rapport publié aujourd’hui par le FIDA.

C'est désormais plus clair que jamais: pour faire face aux crises mondiales, il faut impliquer les communautés qui mettent en œuvre les solutions, leurs voix doivent être entendues, leurs savoirs pris en compte. Mais comment relayer cette parole depuis les régions les plus reculées du monde?

Les petits exploitants agricoles d’Afrique subsaharienne subissent plus que les autres les conséquences des changements climatiques, de la pauvreté et de la dénutrition. Pourtant, un rapport publié aujourd’hui indiquent que nombre d'entre eux demeurent optimistes quant à l’avenir de l’agriculture.

Les racines sont l’essence même de l’agriculture. Elles donnent des plantes saines, et contribuent à assurer une récolte plus prévisible et plus abondante. Le projet ROOTS, qui signifie « racines », vise à promouvoir cette force en Gambie.

Les petits producteurs ont un rôle important à jouer dans la restauration des forêts africaines. Deux projets soutenus par le FIDA en Érythrée et au Kenya aident ces agriculteurs à mener des actions qui permettent à la fois de restaurer les forêts locales et d’entirer des bénéfices économiques et sociaux directs pour leurs communautés.

Les mesures prises par le Lesotho pour nationaliser le secteur de la laine et du mohair ont déclenché une cascade de conséquences inattendues. À la demande du gouvernement, le FIDA et le projet WAMPP ont commandé une étude pour analyser les impacts de ces réglementations et en tirer des enseignements pour les prochaines révisions de politiques publiques.

Plus d'un an et demi après le début de la pandémie de COVID-19, il y a encore beaucoup à apprendre sur la façon dont le marché du travail des pays en développement se redessine, notamment en termes de dynamique de genre. Notre dernière étude suit les tendances du marché du travail au Nigéria avec des données pré et post-pandémie.

La prospérité des populations du Sahel dépend d’une Grande Muraille verte qui devrait traverser toute l'Afrique. Le FIDA participe à toute une série de projets pour aider à la construire. Nous avons récemment çhangé avec la Banque mondiale pour tirer les leçons des réussites et des difficultés au cours de cette décennie de mise en œuvre de leurs propres projets dans la région.

Grâce à un don de 544 795 USD, le FIDA contribue à réduire la pression exercée par la pandémie de COVID-19 sur les populations rurales en République arabe syrienne.