FIDAction

Numéro 1 - Octobre 2005

Message du Directeur de la Division Afrique de l'Ouest et du Centre

En Septembre 2000, pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, la communauté internationale a décidé de se fixer des objectifs précis à l'horizon 2015, en matière de réduction de la pauvreté dans le monde. Il a été reconnu en même temps que pour y parvenir, les efforts de tous les partenaires doivent être conjugués et orientés vers les priorités stipulées dans les stratégies nationales de réduction de la pauvreté.

Seule institution dans le paysage des agences de développement avec le mandat spécifique de lutter contre la pauvreté rurale, le FIDA a un rôle important à jouer dans l'œuvre commune qui a pour but "atteindre les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD). C'est dans ce contexte que l'organisation a adopté, en 2002, une stratégie régionale de réduction de la pauvreté pour l'Afrique de l'Ouest et du Centre. Celle-ci vise notamment à renforcer les capacités des ruraux pauvres et de leurs organisations. Elle s'appuie sur les savoirs locaux et externes, en partenariat avec des institutions partageant la même vision et ayant des approches complémentaires.

Le récent rapport des Nations Unies qui fait le bilan des cinq premières années sur les progrès réalisés, montre qu'il sera difficile pour plusieurs pays "Afrique "atteindre les OMD. "où la nécessité pour tous : donateurs, gouvernements, société civile, organisations paysannes, agences de développement et personnels des projets, de se concerter davantage en vue "accroître les complémentarités et de renforcer les synergies.

C'est pourquoi la Division Afrique de l'Ouest et du Centre a décidé "initier l'édition "un bulletin "information, FIDAction, afin de partager des informations sur ses activités et programmes de réduction de la pauvreté. Une fois par trimestre, FIDAction vous tiendra désormais informés sur les opérations du FIDA dans la région: financements de nouveaux projets, accords de partenariat, identification "approches innovatrices pour combattre la pauvreté rurale et promouvoir le dialogue sur les politiques.

Le bulletin "information comprendra un éditorial, une rubrique consacrée à l'actualité du FIDA (politiques, orientations stratégiques, activités, nouveaux financements), aux informations thématiques; un espace réservé aux projets, à FIDAFRIQUE et aux partenaires.

FIDAction se veut être un forum "information et de dialogue pour tous nos partenaires. Vos articles seront donc les bienvenus. C'est en échangeant nos expériences, nos succès et nos leçons que nous pourrons apprendre les uns des autres, et contribuer ainsi de façon plus efficace à la réduction de la pauvreté et à la croissance dans les pays de la région.

Chers partenaires, chers lecteurs, FIDAction est votre publication. Vos commentaires, vos suggestions seront essentiels à son existence. C'est pourquoi, nous savons compter sur vous tous et chacun de vous. Je vous invite donc à nous envoyer vos critiques et vos articles à publier par courrier électronique à l'adresse suivante: [email protected].

Le bulletin "information sera publié en français et en anglais sur support papier et en version électronique sur les sites Internet de FIDAFRIQUE (www.fidafrique.net) et du FIDA (www.ifad.org).

Bonne lecture.
Mohamed Béavogui

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Améliorer l'impact des projets et programmes du FIDA: l'atelier de Bamako

Un atelier régional sur l'exécution des projets et programmes du FIDA en Afrique de l'Ouest et du Centre s'est tenu à Bamako du 8 au 11 mars 2005. Son objectif était de définir et planifier les mesures à prendre pour améliorer la performance des projets et programmes dans la région.

BamakoOrganisé en partenariat avec le gouvernement du Mali, l'atelier a réuni 130 participants représentant les gouvernements, les projets du FIDA, les organisations régionales, la société civile, les institutions coopérantes, des organisations de bailleurs de fonds et le FIDA.

Selon de récentes études conduites sur les progrès réalisés par les pays pour atteindre les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD), très peu de pays africains parviendront aux résultats escomptés "ici 2015, en dépit des efforts de la communauté internationale. Ouvrant l'atelier de Bamako dans ce contexte, le Vice-Président du FIDA Cyril Enweze et le Ministre de l'agriculture de la République du Mali, Seydou Traoré, ont tous deux insisté sur la nécessité "améliorer l'impact des politiques et des projets de lutte contre la pauvreté dans la région. Ainsi, les évolutions du contexte macro-institutionnel, l'adoption des OMD et l'engagement de la communauté internationale à réduire la pauvreté sur la base de principes partagés, ont conduit le FIDA à un repositionnement stratégique et à l'adoption de nouveaux outils opérationnels.

En introduction, le Directeur de la Division Afrique de l'Ouest et du Centre, Mohamed Béavogui, a présenté quelques unes des innovations introduites récemment en Afrique de l'Ouest et du Centre et au FIDA en matière de lutte contre la pauvreté. Parmi les nouveaux instruments mis en place par l'organisation, le système d'allocation fondé sur la performance (SAFP) et le système de gestion des résultats et de l'impact (SYGRI). Le SAFP sous-tend le dialogue entre le FIDA et les pays. Le SYGRI, lui, vise à mesurer l'impact des projets et programmes grâce au suivi d'un nombre limité d'indicateurs précis. À cela s'ajoutent le dialogue sur les politiques, le développement de partenariats, l'élaboration de stratégies sur les thématiques genre, la finance rurale, la gestion et le partage des connaissances. Ces nouveaux outils visent à permettre au FIDA de poursuivre ses objectifs stratégiques dans un contexte mondial et régional changeant, à la fois favorable et exigeant.

Ainsi donc, le FIDA a adapté ses méthodes "intervention afin "évoluer "une approche basée sur la mise en place de projets isolés vers une approche de formulation de programmes dans les pays. L'organisation se positionne désormais comme «catalyseur» de programmes et de partenariats dans les pays où elle intervient, en vue "accroître l'impact des opérations en faveur de la réduction de la pauvreté.

Les travaux en séance plénière et en groupe ont fourni l'occasion de dialoguer sur les expériences des différents partenaires et "identifier les contraintes à la bonne exécution des projets et programmes. Au nombre de celles-ci ont été cités: la faible performance du système de suivi et évaluation, la qualité peu satisfaisante des prestations de services, le faible niveau des taux de décaissement et la performance très moyenne en matière de gestion des projets.

Les participants à l'atelier ont alors identifié des actions prioritaires pour inverser les tendances et élaboré un plan "action pour la période 2005-2007. Le plan "action de Bamako a pour objectif principal l'amélioration de la gestion et de l'exécution des programmes en harmonisant les méthodes et outils de gestion.

Une attention particulière est portée à la communication, au développement et à la gestion de partenariats, et à la concertation en matière de politiques dans le but de donner un coup "accélérateur à l'approche «programme» dans les pays. Grâce à l'expérience acquise au cours de la mise en œuvre du précédent plan "action adopté en 2002 à Cotonou, les actions prioritaires ont été définies sur la base "indicateurs répondant à des critères spécifiques, mesurables, pertinents, réalisables et limités dans le temps: les indicateurs dits SMART1.

Bamako CD coverToute la documentation sur l'atelier de Bamako est disponible en version électronique sur cd-rom à la demande

1/ En anglais: Specific, Measurable, Achievable, Relevant, Time-bound.

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FIDAFRIQUE: réseau de communication pour le développement rural

Réseau de communication autour des projets et programmes financés par le FIDA en Afrique de l'Ouest et du Centre, FIDAFRIQUE facilite le partage et la diffusion des connaissances afin "améliorer la performance des projets et programmes et renforcer leur impact au niveau local, national et régional.

Basé sur Internet, le réseau a pour vocation de connecter l'ensemble des projets et programmes du FIDA dans la région, ainsi que certains partenaires clés œuvrant pour le développement rural. FIDAFRIQUE s'emploie à rendre l'information accessible, même aux communautés rurales les plus isolées participant aux programmes et projets du FIDA.

La première phase du réseau a démarré en 1999. Elle a été consacrée à l'acquisition des infrastructures informatiques et de télécommunications destinées aux projets. Cette période a également été celle du renforcement des capacités des utilisateurs de ces équipements. Les projets reçoivent jusqu'à ce jour assistance technique et formation à la demande.

À partir de janvier 2002, date de démarrage de la phase II de FIDAFRIQUE, une équipe de coordination a été mise en place et s'est employée à développer des outils de communication, s'appuyant pour cela sur les médias électroniques. Le réseau dispose aujour"hui "un système électronique opérationnel et met à la disposition de ses partenaires, les projets en particulier, un ensemble de services: site web, logiciels, noms de domaines, comptes courriel, forum électronique et fiches thématiques. Trente projets, programmes et organisations locales à travers la région font partie du réseau FIDAFRIQUE.

Pour la fin de l'année 2005, FIDAFRIQUE va principalement se consacrer à la documentation et à la valorisation "expériences réussies. Le réseau travaille à la mise en place "un système adéquat de capitalisation et "échange de leçons apprises. Une approche et une méthodologie de partage des connaissances est à définir par l'ensemble des parties concernées. Des méthodes de collecte, de traitement, de dissémination des informations, savoirs et bonnes pratiques en matière de lutte contre la pauvreté et sur le développement rural seront élaborées et partagées en ligne par les projets, programmes et autres partenaires dans la région.

Le succès du réseau dépendra en grande partie des programmes et projets eux-mêmes et de leur engagement dans ses différentes activités. Son rôle central comme instrument indispensable à la communication et au partage des savoirs dans la région est revenu comme une litanie au cours des travaux de l'atelier de Bamako. En effet, la gestion des connaissances et la dissémination des savoirs résultant des activités du FIDA dans la région font partie intégrante de la mission des projets et programmes de lutte contre la pauvreté financés par le FIDA.

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Financements: de nouveaux projets pour l'Afrique de l'Ouest et du Centre

Combattre efficacement la pauvreté nécessite toujours plus de ressources et un investissement constant dans des activités de développement en faveur des ruraux pauvres et de leurs organisations. Pour y parvenir, le FIDA met à contribution ses outils traditionnels, les prêts et dons, pour financer des projets dans la région.

Au cours de sa session de septembre 2005, le Conseil "administration du FIDA  a accordé un nouveau prêt de UD$19 millions à la République du Ghana pour financer le Programme "amélioration et de commercialisation des racines et tubercules. Ce programme de portée nationale, dont le coût total s'élève à US$27,7 millions, est destiné à améliorer la sécurité alimentaire et les revenus des ménages des ruraux pauvres. Il va notamment mettre sur pied autour des racines et tubercules, des filières de production et de transformation compétitives, axées sur le marché. La participation du secteur privé va constituer un élément important de la stratégie de ce programme.

Quatre nouveaux projets financés par un don et des prêts devraient également voir bientôt le jour grâce à une enveloppe de US$43,5 millions octroyée à l'Afrique de l'Ouest et du Centre par le Conseil "administration du FIDA, lors de sa quatre-vingt quatrième session en avril 2005. Trois des financements seront investis dans des projets et programmes au Mali, au Sénégal et au Tchad.

MaliLe Programme "investissement et de développement rural dans les régions du Nord Mali (PIDRN) a pour objectif le développement rural et le renforcement des capacités des groupes marginalisés, petits producteurs, éleveurs nomades, femmes, jeunes ruraux des zones de Tombouctou et Gao. Il prévoit "impliquer, à travers des démarches participatives, les communautés rurales pauvres dans des activités de formation axées sur la planification, le développement agropastoral durable et l'amélioration des infrastructures communautaires. Ce programme est cofinancé par la Banque ouest-africaine de développement et le Fonds belge de survie. La cérémonie de signature de l'accord de financement s'est déroulée le 24 mai 2005 au siège du FIDA, en présence du Président de la République du Mali, Amadou Toumani Touré, l'occasion de célébrer «20 ans de fructueuse collaboration» entre l'organisation et le Gouvernement du Mali. Ce projet va constituer la toute première intervention du FIDA comme chef de file des bailleurs de fonds dans le Nord Mali, région particulièrement défavorisée et fort difficile. 

Au Sénégal, le Projet de promotion de l'entreprenariat rural (PROMER) - phase II devra consolider les acquis de la phase pilote. Il continuera "œuvrer à la création "emplois durables et à la diversification des sources de revenus des ruraux les plus vulnérables, en particulier les femmes et les jeunes. Le projet favorisera la création "un environnement plus propice au développement des petites et microentreprises rurales non agricoles grâce à la mise en place "un réseau viable de prestataires de services aux entreprises. PROMER II vise à élargir le champ "action des microentreprises et à augmenter leur rentabilité. Ce douzième prêt accordé au Sénégal est également cofinancé par la BOAD.

 

L'accord de financement du PROMER II en République du Sénégal a été signé le 7 juin 2005 au siège du FIDA par le Président du FIDA, Lennart Båge et M. Momar Gueye, Ambassadeur du Sénégal à Rome, représentant permanent auprès de la FAO, du FIDA et du PAM. Une cérémonie similaire a eu lieu le 14 juillet 2005 à Rome pour l'accord de financement du PRODER B en République du Tchad. Les documents de prêt ont été par le Président du FIDA M. Mahamat Abdelrassaoui, Ambassadeur plénipotentiaire de la République du Tchad.

 

Le troisième prêt octroyé à la région va financer le Projet de développement rural du Batha (PRODER B) au Tchad. Dans cette région, la dégradation des sols, l'accès limité aux ressources et à l'information et l'exclusion des ruraux pauvres des processus de prise de décisions placent les populations dans une situation de précarité. Leur survie dépend essentiellement des activités agricoles. Ce projet devra renforcer les capacités des ruraux: femmes, jeunes, groupements de producteurs, associations et communautés rurales. Il leur permettra "identifier eux-mêmes les contraintes de développement auxquelles ils font face, classer par ordre de priorité leurs problèmes, formuler leurs propres projets. Ils seront entièrement associés à l'exécution et à la supervision des activités.

En plus de ces prêts, un don de US$1,5 million a été accordé à une ONG, la Fondation rurale en Afrique de l'Ouest, pour le financement du Programme de renforcement des capacités de gestion des projets du FIDA dans la région. Ce programme est destiné à améliorer la qualité de la gestion des projets et revêt une importance toute particulière en ce que l'exécution efficace des projets et programmes est au centre des efforts du FIDA pour accroître les moyens "action des ruraux pauvres. Ce don pour le renforcement des capacités managériales est un élément majeur du plan "action de Bamako.

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Sao Tomé-et-Principe: les promesses du cacao biologique

Le développement du cacao biologique au sein du Programme national "appui participatif à l'agriculture familiale et la pêche artisanale a commencé depuis peu à donner de bons résultats, améliorant les conditions de vie de centaines "agriculteurs santoméens. Cette initiative, lancée en partenariat avec un opérateur privé, est à mettre au compte des efforts déployés par Sao Tomé pour atteindre les OMD.

Sao Tome Il y a quelques années, dans un contexte fort difficile, le FIDA, la Banque mondiale et la Coopération Française se sont engagés à appuyer la réforme foncière du Gouvernement de Sao Tomé. Ce programme de réforme a permis de garantir aux petits agriculteurs l'accès à la terre et "accroître la production agricole. De tout temps, le cacao a été la principale culture agricole et a toujours constitué près de 90% des recettes "exportation de Sao Tomé. Dans les années passées, le pays était le plus grand exportateur mondial de cacao avec une production atteignant les 40,000 tonnes en 1930. Par la suite, la production s'est effondrée pour s'établir en moyenne à 4,000 tonnes depuis les années 90. Cette baisse de la production, combinée aux fluctuations des prix du cacao sur le marché international ont durement affecté et appauvri les paysans locaux.

En janvier 2000, le FIDA a initié une étude sur le développement "une filière «cacao aromatique/biologique» à Sao Tomé. La mission "expertise a été appuyée par l'opérateur privé André Deberdt, Président de l'entreprise française KAOKA, filiale du Groupe agro-industriel CEMOI et plus important producteur français de chocolat raffiné, conforme aux normes de l'agriculture biologique. À l'issue de l'étude, la mission a recommandé de relancer et soutenir la production du cacao sur la base de la double qualité aromatique et biologique. Les experts ont décelé un marché de niche intéressant et rémunérateur pour des producteurs à petite échelle.

Le programme pilote cacao biologique a ainsi démarré en 2001 dans le cadre du Programme national "appui à l'agriculture familiale, avec pour objectif "appuyer la production et la commercialisation "un cacao biologique et aromatique, fortement valorisé, à l'abri des fluctuations des cours mondiaux et portant le label «origine Sao Tomé». Un contrat sur cinq ans a été alors signé entre les participants au programme et l'entreprise KAOKA®. Depuis, les agriculteurs sont tenus de produire du cacao de qualité et l'entreprise française "acheter la totalité de la production. Deux ONG locales ZATONA et ADAPPA, l'institut de recherche CIAT, ECOCERT, organisme chargé de la certification bios équitable et onze communautés locales de producteurs de cacao, soit trois cent vingt exploitations familiales se sont engagés dans cette opération. Aujour"hui vingt communautés participent à ce programme, soit sept cent cinquante exploitations familiales comprenant 30% de femmes.

cacao Du partenariat avec KAOKA®, les producteurs ont pu tirer la garantie "un prix "achat stable et la possibilité "exploiter le savoir de l'entreprise privée française mettant à profit son expérience pour acquérir des compétences, accéder au marché européen et s'y implanter. Les prix "achat ont été fixés selon une grille spécifique avec un prix minimum garanti de 1 dollar et maximum de 1,7 dollar le kilogramme, sur la base de la valeur du cacao à la bourse de New York. L'acheteur, quant à lui, est assuré "une offre stable et de qualité. Les résultats "une analyse coûts/bénéfices réalisée en avril 2005 ont démontré un taux de retour sur investissement de l'ordre de 17%. Les revenus annuels "une famille participant à ce programme sont accrus de plus de 30%. Mille familles bénéficieront des retombées de ce programme "ici la fin de l'année 2006.

Cette expérience traduit l'engagement du FIDA à promouvoir l'investissement au profit des ruraux pauvres grâce à des partenariats avec le secteur privé. Des programmes similaires seront mis en place dans la région autour des filières gomme arabique, flageolet, mangue, mil, sorgho et manioc.

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Événements

Le Président du Burkina Faso en visite au siège du FIDA
M. Blaise Compaoré, Président du Burkina Faso, a rendu le 24 mai 2005 une visite de courtoisie à M. Lennart Båge, Président du FIDA. Les entretiens ont notamment porté sur l'engagement pris par l'institution "accroître ses financements en Afrique pour une contribution significative à la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le développement dans les zones rurales.


Ouagadougou, Burkina Faso: un atelier régional sur la mise en œuvre du programme "action de FIDAFRIQUE a réuni plusieurs gestionnaires de programmes et projets de la région et chargés de programme du FIDA du 26 au 28 septembre 2005.

Ouagadougou, Burkina Faso: un séminaire sur le système de gestion des résultats et de l'impact (SYGRI) a été organisé par le FIDA les 29 et 30 septembre.

Doha, Qatar : Consultation pour la Septième Reconstitution des ressources du FIDA - Quatrième Session, 1-2 Octobre

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