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Après la récente publication de données confirmant une forte baisse à l’échelle mondiale du financement de l’action climatique consacré à l’adaptation, le FIDA et ses partenaires ont dévoilé aujourd’hui un nouveau mécanisme de financement destiné à renforcer l’aide à l’adaptation aux changements climatiques des petits producteurs alimentaires des communautés rurales au Kenya, en Ouganda, au Rwanda et en Tanzanie.

L'Afrique orientale et australe abrite toutes sortes de paysages, de populations et de défis. Un entretien avec Sara Mbago-Bhunu, Directrice régionale, pour mieux comprendre la vie des populations rurales et la différence que peuvent y faire des investissements.

Pendant plus d’un mois, le cyclone Freddy a ravagé le sud-est du continent africain. Il s’agit de la tempête tropicale la plus persistante de l’histoire – et les communautés rurales vulnérables sont au cœur de la tourmente. Passage en revue des conséquences pour les participants aux projets FIDA dans la région.

Les coups portés à la sécurité alimentaire de millions d’Africaines et d'Africains par la hausse des prix des denrées alimentaires et des carburants sont encore aggravés par la menace d’une crise de la dette dans certains pays. C’est dans ce contexte que la Banque africaine de développement (BAD) et le FIDA ont décidé d’unir leurs forces pour lutter contre les problèmes structurels qui nuisent à la productivité agricole en Afrique en créant un nouveau programme destiné à nourrir le continent de manière durable.

Lorsque la COVID-19 a immobilisé la planète entière, le FIDA a aidé les organisations paysannes à trouver de nouvelles pratiques face à une pandémie mondiale.

Sur fond de hausses des prix de l’alimentation et de l’énergie qui continuent de frapper et de paralyser l’Afrique orientale et australe, les effets dévastateurs des changements climatiques sur la capacité de production des petits exploitants agricoles sont devenus une question pressante. C’est dans ce contexte que le FIDA et des organisations paysannes de la région organisent conjointement le Forum paysan régional à Dar es-Salam (Tanzanie) les 24 et 25 novembre.

La COP27 est sur le point de se produire – rejoignez-nous pour entendre une perspective africaine sur ce que l’on peut attendre de la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques, organisée cette année en Égypte.

Au Kenya, les agriculteurs sont confrontés à une menace minuscule, mais pas moins destructrice: la chenille légionnaire d’automne. Une menace grandissante avec les changements climatiques. Mais les techniques push-pull (ou chasser-charmer) offrent une solution durable et bon marché. Découvrez comment fonctionne cette technique simple mais efficace.

L’agriculture africaine est à la croisée des chemins. Elle a le potentiel colossal de nourrir non seulement l’Afrique mais le monde. Mais la conjoncture mondiale freine l’essor des petits exploitants agricoles du continent. Voici cinq chiffres pour comprendre comment la transformation de l’agriculture africaine peut changer la donne.

L'Afrique de l'Est connaît l'une des pires sécheresses depuis des décennies. L'insécurité alimentaire gagne des millions de personnes car les récoltes sont mauvaises, le bétail meurt et les sources s'assèchent. Découvrez comment le FIDA renforce déjà la résilience aux changements climatiques et ce qu'il reste à faire.

Au FIDA, nous envisageons la conception de projet avec une approche ascendante, à l’initiative des communautés. Cela permet de susciter chez les communautés rurales comme auprès des pouvoirs publics un sentiment d’appropriation. Un exemple récent en Éthiopie illustre comment les pouvoirs publics et les communautés se sont associés pour concevoir des investissements visant à renforcer la résilience.

The MobileRemit Africa Report provides a framework to help countries identify data gaps, measure how enabling their policies are and the operating market environment for mobile-enabled remittances.

IFAD today officially opened its East and Southern Africa regional office to help the institution meet its goal of reducing hunger and poverty.

Les zones arides de l'Afrique subsaharienne, c'est-à-dire les zones où les pertes d'eau par évaporation sont supérieures aux précipitations, sont confrontées à un phénomène généralisé de dégradation des terres. De nombreux facteurs en sont la cause, mais l'un des plus importants est le recours à des pratiques agricoles inadaptées à la santé des sols, comme le surpâturage et l'agriculture intensive.

Nous savons bien une chose ou deux sur la façon dont connecter les jeunes avec les services financiers dont ils ont besoin pour se lancer dans une entreprise – mais il y a toujours plus à apprendre. Ici, nous réfléchissons à certaines de nos "retours d'expérience" dans le cadre d'un récent programme de dons en Afrique de l'Est.

Alors que de plus en plus de personnes basculent dans la faim et la pauvreté en raison des restrictions liées à la pandémie, des changements climatiques et des conflits, l’Agence norvégienne de coopération pour le développement (NORAD) a mobilisé 45 millions de couronnes norvégiennes (5 millions d’USD) pour augmenter les revenus et renforcer la résilience des petits aquaculteurs au Kenya, au Mozambique et en République‑Unie de Tanzanie, a annoncé aujourd’hui le FIDA.

The IFAD regional team held its annual East and Southern Africa Business Planning meeting to outline a vision for the next three years, under the IFAD 12 replenishment cycle. With less than 10 years to achieve the Sustainable Development Goals (SDGs), and the region’s small-scale farmers and rural people suffering the effects of the pandemic, climate change impacts, locust infestation and other crises, it is essential to plan bold actions to preserve and advance development gains.

D’ici 2050, la production issue des cultures de base dans huit pays africains pourrait diminuer de 80% dans certaines régions si les températures continuent d’augmenter en raison des changements climatiques. C’est ce qu’indique un rapport publié aujourd’hui par le FIDA.

Le groupe de jeunes Gilani Umoja a été fondé en 2017. L’objectif? Créer des emplois pour les jeunes de la région et assurer un approvisionnement régulier en céréales et autres cultures de base. Passées les premières difficultés, leur entreprise est désormais une source de revenus pour eux-mêmes et pour d'autres membres de leur communauté.

Les petits exploitants agricoles d’Afrique subsaharienne subissent plus que les autres les conséquences des changements climatiques, de la pauvreté et de la dénutrition. Pourtant, un rapport publié aujourd’hui indiquent que nombre d'entre eux demeurent optimistes quant à l’avenir de l’agriculture.