Actualités

Le projet Gente de Valor a été conçu pour accompagner les sertanejos (le nom des habitants du Sertão, une région semi-aride du Brésil). L’ approche favorisait un développement piloté par les communautés, qui encourageait la participation active et une prise de décision locale. Cinq ans après la fin du projet, le FIDA est revenu pour évaluer les résultats du projet et les avantages d’une telle approche.

L'agriculture itinérante est un système alimentaire autochtone pratiqué par des millions de personnes en Asie du Sud et du Sud-Est. Un nouveau livre de référence rédigé par Dhrupad Choudhury, en collaboration avec l'ICIMOD, est conçu pour accompagner les décideurs politiques et les professionnels du développement dans la transformation en un sens durable de cette pratique.

Le manioc est l'une des cultures de base les plus importantes du Rwanda, mais l'accès au marché reste un obstacle. Le syndicat Ingabo, une organisation de coopératives, aide ses producteurs de manioc à trouver des marchés depuis plus de vingt ans, et plus récemment en s’appuyant sur des partenariats public-privé.

Les habitants du sertão, une région semi‑aride du Brésil, sont confrontés au manque d’eau depuis des siècles. Mais ces dernières décennies et grâce à l’aide apportée par le FIDA et par d’autres acteurs du développement, ces populations parviennent à extraire de Dame Nature quelques gouttes d’eau supplémentaires.

Dorothy Chia Vandefan ne manque pas d’idées. Elle se décrit comme une entrepreneuse agricole sérieuse, capable de créer des possibilités là où il ne semble y en avoir aucune, et elle a raison.

Peatlands across south-east Asia have been cleared for agricultural purposes, leading to a sharp increase in fires. To reverse course, we need to transition to sustainable, fire-free peatland management practices.

Chaque année, après la récolte du riz en Asie du Sud, une vaste superficie de plus de 15 millions d'hectares reste improductive (en friche) jusqu'à la prochaine saison de plantation du riz, plusieurs mois plus tard. Les scientifiques dans des pays comme le Bangladesh, l'Inde et le Népal pensent que ces terres improductives pourraient, et devraient, être utilisées pour des cultures de complément qui permettraient d'augmenter les revenus des agriculteurs et la sécurité alimentaire.

Les habitants des zones rurales, en particulier les petits exploitants agricoles, sont parmi les plus touchés par les changements climatiques. De tels bouleversements accentuent l’imprévisibilité des conditions météorologiques et l’intensité des phénomènes les plus violents.

Cultiver des oliviers en Jordanie, l’un des pays les plus secs au monde, n’est pas chose facile. Chaque jour, Fadieh, 53 ans, son mari et leurs quatre enfants passent chacun des heures à préparer le sol et à s’occuper des arbres, mais la tâche la plus exigeante est sans doute de veiller à ce que les oliviers aient suffisamment d’eau.

Les agriculteurs qui ne disposent pas d'irrigation et pratiquent une production pluviale sont particulièrement vulnérables à la sécheresse. Heureusement, certaines technologies agricoles, telles que les variétés de riz résistantes au stress, peuvent les aider à s'adapter aux changements climatiques.

Renforcer l'efficacité de l'irrigation ne figure pas au rang de priorité des politiques publiques, où la problématique mondiale de l'accès à l'eau potable et à l'assainissement occupe le devant de la scène.

La journée de Meltem Gözel commence à 7 heures tous les matins. Avant le lever du soleil, elle est déjà au travail dans ses serres et s'occupe de ses champignons.

Il n’est jamais facile de repartir à zéro, ni pour un individu ni pour une nation tout entière. Pour autant, l’Ouzbékistan a fait des progrès incroyables ces dernières années sur le plan économique.

Dans un monde aujourd’hui aux prises avec la pandémie, d'autres menaces, notamment l’urgence climatique, n'ont pas disparu pour autant. Les données scientifiques montrent clairement que, sans une action urgente à l’échelle mondiale, une crise climatique et environnementale encore plus grave nous attend.

Au Royaume des Tonga, le fai fatongia dicte la vie quotidienne. En vertu de ce principe, qu’on peut traduire par "chacun assume ses responsabilités", les Tongans font traditionnellement passer le bien collectif avant leurs besoins individuels.

Nos systèmes alimentaires actuels ne sont pas durables. La faim progresse depuis plusieurs années, et on estime que 811 millions de personnes dans le monde ont souffert de la faim en 2019. Suite à la pandémie de COVID-19, jusqu'à 132 millions de personnes supplémentaires pourraient bientôt venir grossir ce nombre.

Le Bhoutan, pays niché dans les hauteurs de l’Himalaya, a toujours été isolé et a dû s’adapter aux accidents de sa topographie. La sécurité alimentaire y est donc une exigence primordiale.

Les populations rurales pauvres sont parmi les plus durement touchées par les changements climatiques, tout en y contribuant très peu. Il faut leur consacrer une part équitable des financements de l’action climat et leur donner leur place dans les négociations mondiales sur les questions climatiques.

Les technologies numériques nous accompagnent désormais au quotidien depuis plusieurs décennies. Et smartphones et ordinateurs portables sont devenus encore plus utiles depuis le début de la pandémie de COVID-19.

La détermination et la persévérance sont la clé du succès pour un entrepreneur. C’est encore plus vrai dans un pays tel que la Syrie, où les conflits perpétuels perturbent le quotidien de la population depuis dix ans.