La collaboration avec les organisations de la société civile et les ONG occupe une place centrale dans le travail du FIDA pour réduire la pauvreté dans le monde.
Ce partenariat avec les ONG prend différentes formes. Au niveau local, le FIDA s'appuie souvent sur l'expérience des ONG et leur connaissance du terrain pour faciliter la mise en œuvre de ses projets et programmes. Les ONG locales sont généralement en mesure d'atteindre des segments de la population rurale qui sont négligés par les agences gouvernementales ou considérés comme non prioritaires.
Le FIDA apporte son soutien aux ONG dans leurs actions de plaidoyer et leurs initiatives de recherche à l'échelle régionale et mondiale, et s'efforce d'offrir à ses partenaires de la société civile une plateforme utile pour défendre la cause de la population rurale pauvre.
Entre autres partenariats du FIDA avec des ONG, le Fonds collabore avec:
Despite the African continent holding the world’s most arable land and the agricultural sector employing over half of the population, Africa is still struggling with food production and food insecurity.
Farm Radio International’s On Air Dialogues gathered the perspectives and experiences of rural people in Ethiopia and Burkina Faso as they contend with climate change. People responded to poll questions and left voice messages sharing their opinions on and experiences of climate change and what global leaders should do to help them adapt and prosper.
En partenariat avec six stations de radio au Burkina Faso, au Ghana, en Tanzanie et en Ouganda, Radios Rurales Internationales a demandé aux agriculteurs(trices), vendeurs(ses), transformateurs(trices), commerçants(tes) de petite taille et autres comment le système alimentaire devrait être modifié pour répondre à leurs besoins et aux besoins de leurs communautés.
La collaboration du Fonds avec les ONG a débuté peu après la création du Fonds, lorsque celui-ci a appuyé le
Projet de crédit agricole aux petits exploitants au Bangladesh.
En 1976, une ONG a lancé, sous la conduite du professeur Mohammed Yunus de l’Université de Chattagong,
une méthode novatrice de distribution de crédit aux ruraux pauvres, spécialement aux femmes et aux paysans
sans terre, dans un seul village. La constitution et l’éducation de petits groupes par l’intermédiaire desquels les
prêts étaient distribués formaient le pivot de cette initiative. Des agents mobiles de crédit ont mis des services
financiers à la portée des villageois et, grâce à une supervision efficace du recouvrement des prêts, les taux de
remboursement avoisinaient les 98%.
